Si c’est le cas, voici une promesse biblique pour vous : « Il use de patience envers vous, il ne veut pas qu’au­cun périsse, mais il veut que tous arrivent à la repen­tance ». Rem­placez « aucun » par le prénom d’un de vos proches. Tant qu’il y a de la vie il y a de l’espoir ! Le dernier mir­a­cle de Jésus a été de sauver un brig­and attaché à une croix à côté de lui. « Aujour­d’hui tu seras avec moi dans le par­adis » (Lu 23.43). Écoutez les paroles de l’hymniste Annie John­son Flint : « Son amour n’a pas de lim­ite, sa grâce est incom­men­su­rable, sa puis­sance est infinie ; Il donne et donne et donne encore ses richess­es infinies en Jésus ». Peu importe jusqu’où vos bien-aimés ont pu aller, la grâce et la mis­éri­corde de Dieu peu­vent encore les attein­dre. Alors, con­tin­uez à prier pour eux. « La main de l’Éter­nel n’est pas dev­enue trop courte pour sauver, ni son oreille trop dure pour enten­dre » (Esa 59.1). Jésus a dit : « Nul ne peut venir à moi, si le Père qui m’a envoyé ne l’at­tire » (Jn 6.44). Alors deman­dez à Dieu de met­tre quelqu’un sur le chemin de vos bien-aimés pour leur mon­tr­er le chemin du salut. Surtout, ne vous lais­sez pas décourager et ne cédez pas au doute. Rap­pelez-vous : c’est la volon­té de Dieu de les sauver. Vous savez que si votre prière est con­forme à sa volon­té, vous pou­vez vous approcher de lui avec foi. « Si nous deman­dons quelque chose selon sa volon­té, il nous écoute. Et si nous savons qu’il nous écoute […] nous savons que nous pos­sé­dons ce que nous lui avons demandé » (1Jn 5.14–15).