Si vous trouvez une coquille d’huître vide, cherchez le minuscule trou fait par un bulot. Ce petit mollusque a un appendice qui fonctionne comme un foret. Grâce à lui, le bulot perce la coquille et aspire l’huître par le trou, petit à petit, jusqu’à ce qu’il l’ait entièrement dévorée. Ne laissez pas les explosions de colère ou les remarques critiques d’autrui percer un trou dans votre caractère enjoué et vous priver de votre bonne humeur. Si vous n’y prenez garde, vous finirez fâché(e) et rempli(e) d’amertume. Et votre santé peut en être affectée. La médecine a démontré que certains types de dépression sont simplement de la colère rentrée. Rappelez-vous le vieil adage : « Ce n’est pas ce que vous mangez qui vous rend malade, mais ce qui vous mange. » La Bible dit : « Ne fréquente pas quelqu’un de coléreux, […] de peur que tu ne t’habitues à ses sentiers, et que tu n’y trouves un piège pour ta vie » (v.24–25). Si vous êtes sage, vous éviterez les personnes toujours négatives ou en colère contre la vie et celles qui se plaisent à vous irriter. En d’autres termes, évitez les bulots ! John Mason écrit : « Détourner votre esprit des choses qui semblent être contre vous est une façon de s’affranchir des fardeaux. Penser aux choses négatives ne fait que leur accorder un pouvoir qu’elles n’ont assurément pas. Évoquer vos griefs ne fait que les amplifier. Attachez-vous au pardon, au plan et à la Parole de Dieu. Puis comparez le résultat face aux anciennes situations délicates. »