"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Si c’est vous qui jugez, sou­venez-vous de ce principe : tout se paye un jour. Jésus a dit : « Ne jugez pas, afin de ne pas être jugés. C’est du juge­ment dont vous jugez qu’on vous jugera, de la mesure dont vous mesurez qu’on vous mesur­era » (v.1–2). C’est la loi de réciproc­ité qui garan­tit que vous retrou­vez ce que vous don­nez. Ce n’est pas une men­ace, c’est une loi immuable, tout comme celle de la grav­ité. Vous dites : « J’accuse mais je suis de bonne foi. Tout le monde doit savoir que cette per­son­ne a péché ! » Peu importe, la Parole de Dieu inter­dit de juger. Vous avez peut-être rai­son et l’autre peut avoir tort, mais le juge­ment est une vio­la­tion des Écri­t­ures. De plus, il vous met en posi­tion d’être jugé(e). Ques­tion : et si l’autre s’é­tait déjà repen­ti, avait con­fessé son péché et reçu le par­don de Dieu ? Pensez‑y : le pire serait de juger les péchés que Dieu a déjà par­don­nés et oubliés (voir Esa 43.25). Juger les autres, c’est regarder dans la mau­vaise direc­tion. On évite ce qu’on ne veut pas voir : ses pro­pres défauts. Jésus a dit : « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère, et ne remar­ques-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? » (Mt 7.3). La paille, c’est l’affaire de Dieu. La poutre, c’est votre affaire ! Jésus a dit aus­si : « Heureux les mis­éri­cordieux, car ils obtien­dront mis­éri­corde ! » (Mt 5.7). Ne jugez pas les autres, soyez mis­éri­cordieux et très vite on vous le rendra.

"Les exhortations de Parole du Jour ont contribué à réellement changer ma vie. Je vous lis et vous écoute en sachant qu'une bénédiction va m'accompagner. Merci infiniment." Albéric Je fais un don