Le Psalmiste a proclamé : « Je bénirai l’Éternel en tout temps ; sa louange sera toujours dans ma bouche. Que mon âme se glorifie en l’Éternel ! […] Magnifiez avec moi l’Éternel ! Exaltons ensemble son nom » (v.2–4). Examinons ce verset : 1) La louange est un acte volontaire. Si vous dites : « Je bénirai l’Éternel en tout temps ; sa louange sera toujours dans ma bouche », ce n’est pas spontané, mais c’est une décision qui va au-delà de vos sentiments. Le mot « alléluia » exprime l’adoration, mais aussi la nécessité de louer le Seigneur. 2) La louange éveille les sens. « Que mon âme se glorifie en l’Éternel » (v.3). David loue le Seigneur parce que c’est d’abord un commandement. Ensuite parce qu’il désire le faire. C’est dans l’ordre des choses. Pour modifier vos sentiments, changez d’optique. À la fin, David chante : « L’Éternel libère l’âme de ses serviteurs, et tous ceux qui se réfugient en lui échapperont à la condamnation » (v.22). 3) La louange déteint sur les autres. « Magnifiez avec moi l’Éternel ! Exaltons ensemble son nom » Elle est contagieuse et transforme l’atmosphère ambiante. Quand on se réunit avec des personnes qui aiment la louange, l’environnement s’efface et on atteint un niveau de joie inconnu jusque là. La louange s’exprime sous plusieurs formes. Le Psaume 150 en décrit neuf : on peut parler, crier, chanter, battre des mains ou les élever. On peut jouer avec des instruments, se tenir debout, s’agenouiller ou danser. Mais avant tout, assurez-vous de louer Dieu !