Betty Mahalik constate : « On entend très souvent : “Ma vie serait parfaite si seulement j’avais un autre travail, un meilleur conjoint, plus d’argent en banque, etc.” Ou “si je pouvais être comme cette célébrité à la vie si parfaite.” Eh bien, cette semaine, j’ai arrêté de jouer à “ma vie serait parfaite si” pour jouer à “ma vie parfaite”. La différence tient en trois points. 1) Je suis dans le présent. 2) Je montre ma reconnaissance. 3) Je fais avec ce qui est disponible maintenant. Quand on est pris au piège de “ma vie serait parfaite si“, on occulte le présent et oublie la gratitude : il est difficile d’être reconnaissant pour ce que l’on n’a pas, et qui se trouve quelque part dans le futur. Regardez autour de vous. Est-ce que vous avez un toit au-dessus de votre tête et de quoi manger ? Des amis proches et fidèles ? Alors profitez-en. Vous vous dites sans doute : “Oui, mais je veux plus d’argent, de meilleures relations, plus de temps pour voyager, être plus mince, plus heureux et ainsi de suite.” Arrêtez de vous focaliser sur ce qui vous manque et concentrez-vous sur ce que vous avez déjà. » La Bible dit : « Celui qui a peur que vienne le vent ou la pluie, ne pourra jamais semer ni moissonner ». Si on exige le tout ou rien, on se retrouvera sans rien. Comme le dit Paul : « C’est Dieu qui nous a formés » (Ep 2.10, BFC). Faire de son mieux est louable, mais personne n’atteindra la perfection ici-bas. Pas grave, car Christ nous a revêtus de sa justice et nous a permis d’être « comblés en lui » (Col 2.10, NBS).
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