Parole du Jour
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Dieu promet de répon­dre à mes besoins, pas à mes désirs. Lorsque je m’endette pour acquérir des biens super­flus, pourquoi m’attendre à ce qu’il me tire d’af­faire ? Comme tout par­ent respon­s­able, Dieu s’en gardera bien. Il me soumet des choix, et m’avertit des con­séquences. Il dit à Adam et Ève de ne pas manger le fruit défendu. Puis Satan arrive et déclare : « Dieu ne le pense pas vrai­ment, faites ce qu’il vous plaira, tout ira bien ! » C’est le moteur de toute pub­lic­ité. Telle entre­prise me pro­pose une mai­son meublée sans men­su­al­ités pen­dant deux ans. Mais si je suis inca­pable de pay­er main­tenant, com­ment le pour­rais-je dans deux ans ? La Bible pro­pose qua­tre façons de sor­tir de l’endettement. 1) Ne pas désir­er les biens de ce monde, car « la cupid­ité est une idol­âtrie » (Col 3.5). Au lieu de con­voiter le super­flu, savoir appréci­er ce qu’on a déjà. 2) Pay­er la dîme. On passera ain­si de l’é­conomie pré­caire du monde à l’é­conomie inébran­lable de Dieu. Lorsqu’on paie la dîme, Dieu promet de pro­téger nos intérêts et de nous bénir « au-delà de toute mesure » (Mal 3.8–12). 3) Prier avant d’acheter. Deman­der à Dieu ce qu’il me faut, et écouter sa réponse. 4) Don­ner une par­tie de ses biens. La Bible dit : « Tel, qui fait des largess­es, devient plus riche ; et tel, qui épargne à l’ex­cès, ne fait que s’ap­pau­vrir. Celui qui répand la béné­dic­tion sera dans l’abon­dance » (Pr 11.24–25). Obéis­sons à Dieu, soyons patients, et obser­vons la suite !