La princesse Alice était la fille de la reine Victoria. Lorsque son fils contracte une maladie incurable, les médecins mettent le garçon en quarantaine et avertissent sa mère de rester loin de lui de peur qu’elle ne soit infectée. Mais un jour, elle entend son fils murmurer à son infirmière : « Pourquoi ma mère ne m’embrasse-t-elle plus ? ». À ces mots, elle n’y tient plus et s’élance vers lui, l’étouffant de baisers. Quelques jours plus tard, elle décède. Qu’est-ce qui pousse une mère à risquer sa vie pour son enfant ? L’amour ! Maintenant, quand je suis face à la croix, je sais que c’est l’amour qui a poussé Christ à se sacrifier pour moi ! Paul a encouragé les croyants d’Éphèse à « connaître l’amour du Christ qui surpasse toute connaissance ». L’acte ultime du Christ est dû à la mesure de son l’amour. Peut-être que les personnes censées vous aimer ne l’ont pas fait. Peut-être avez-vous été abandonné(e) à l’hôpital, à l’église, ou face au chagrin. Dans tous les cas vous avez demandé : « Est-ce que quelqu’un m’aime ? ». Aujourd’hui, le Christ répond sans équivoque : « Je vous aime ! » En vérité, son amour pour vous « surpasse toute connaissance ». Charles Gabriel a écrit cette hymne : « Je suis stupéfait en présence de Jésus le Nazaréen, Et je me demande comment il a pu m’aimer, moi, un pécheur, condamné, impur. Quelle merveille ! Et je chanterai toujours : Merveilleux ! Comme c’est merveilleux ! L’amour de mon Sauveur pour moi ! » Dieu ne pourrait pas vous aimer plus qu’il ne le fait en ce moment, et ça ne changera jamais.
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