Savez-vous que Parole du Jour c’est 3 230 000 de pages vues ces 12 derniers mois ? Tout cela a un coût ! Pour nous soutenir cliquez ici.

Le père de Car­olyn Arends est en train d’agoniser à l’hôpi­tal. Un masque à oxygène l’empêche de com­mu­ni­quer avec ses proches. Ces derniers sont donc sur­pris de l’en­ten­dre fre­donner une vieille chan­son d’é­cole du dimanche : « Avec Christ dans le bateau, nous pou­vons sourire à la tem­pête sur le chemin du retour. » Quelques heures avant d’entrer au par­adis, ce vieux refrain apporte à ce mourant récon­fort et force. Arends écrit : « J’e­spère que je par­ti­rai moi aus­si en chan­tant, par­lant et en pen­sant à Jésus. Envis­ager la mort sans cer­ti­tudes, c’est comme vivre avec un fan­tôme dans la mai­son. On doit tou­jours regarder par-dessus son épaule, et on s’empêche de vivre dans la joie le restant de ses jours. Sor­tie de l’om­bre et éclairée par la lumière de l’É­vangile, la mort non seule­ment perd son effet, mais appelle à “compter nos jours” (Ps 90.12). En ter­mes d’objectif et de sen­sa­tion d’urgence, un sprint vers la ligne d’ar­rivée n’a rien à voir avec un jog­ging autour du pâté de mai­son. Le croy­ant qui sait sa mort plus ou moins proche cessera de dépenser une énergie folle pour nier sa mor­tal­ité et com­mencera à vivre sa des­tinée éter­nelle ici et main­tenant. Il peut inve­stir con­sciem­ment dans des choses qui doivent tenir jusqu’au bout. La mort fait mal, mais ce n’est pas la fin. Nous ne pleu­rons pas comme ceux qui n’ont aucun espoir. Je ne sais pas com­bi­en il me reste de jours, mais je veux les utilis­er pour con­naître plus pro­fondé­ment encore la per­son­nal­ité de Jésus et ce qu’il représente pour moi. »

Vous êtes des cen­taines à nous dire com­bi­en Parole Du Jour vous fait du bien : « Mer­ci beau­coup pour ces mes­sages quo­ti­di­ens qui me récon­for­tent tous les jours. Cela fait bien­tôt qua­tre ans que je lis vos mes­sages, c’est tou­jours riche. Que Dieu vous bénisse riche­ment. » — Gaston
Pour laiss­er votre témoignage, cliquez ici.