Un dimanche à l’église, une femme s’endort en plein ser­mon. Le prédi­ca­teur s’adresse à son voisin : « S’il vous plaît, réveillez cette dame. » L’homme répond : « Désolé, Pas­teur, c’est vous qui l’avez endormie, c’est à vous de la réveiller ! » Sérieuse­ment, Paul l’af­firme : « L’É­vangile : c’est une puis­sance de Dieu pour le salut de quiconque croit ». En grec, « puis­sance » se dit « dynamis », ce qui a don­né « dyna­mite ». Vous par­lez d’un impact ! L’Évangile change les gens en pro­fondeur. Chuck Swin­doll dit : « L’Évangile est une épée au tran­chant effilé sur la pierre de l’Écriture, et trem­pé dans la four­naise de la réal­ité. De toutes les réac­tions qu’il peut provo­quer, je pense qu’il n’y a rien de pire qu’un bâille­ment tein­té d’ennui, de mépris et d’indifférence. Jésus allait vers les gens. Sa parole était tran­chante, ses ser­mons con­crets. Il s’en pre­nait à l’hypocrisie et aux préjugés. Il a ren­con­tré les gens là où ils étaient, non où ils auraient dû être. Jeunes rebelles, men­di­ants aveu­gles, poli­tiques orgueilleux, filles de joie, pêcheurs igno­rants, pos­sédés et par­ents en deuil, il s’identifiait à tous. Ses enne­mis ne le com­pre­naient pas, mais ils ne pou­vaient pas l’ignorer. Ils le haïs­saient, mais jamais ils ne s’ennuyaient près de lui. Voulez-vous décevoir le Seigneur ? Facile : servez-vous de l’Évangile pour ennuy­er les gens ! L’Évangile n’est pas un vague con­cept religieux ; c’est une rela­tion pas­sion­nante avec Dieu qui œuvre chaque jour dans notre vie. » Les gens qui vous entourent en ont besoin, alors partagez-leur la Bonne Nouvelle.