La honte grandit dans l’obscurité, mais une fois exposée à la lumière de la Parole de Dieu, elle perd de son emprise. Rien n’est plus capricieux que les sen­ti­ments. Ils sont sou­vent provo­qués au quo­ti­di­en, par un air fam­i­li­er, la men­tion de celui ou celle qui vous a blessé(e), un anniver­saire, une fête comme Noël ou la St Valentin. C’est pourquoi Jacques nous exhorte : « Pra­tiquez la parole et ne l’é­coutez pas seule­ment ». Un psy­cho­logue écrit : « La honte peut nous retenir, nous écras­er, et nous garder tête basse… Bien des sys­tèmes et des indi­vidus sont con­trôlés par elle et veu­lent nous faire entr­er dans leur jeu… Trou­bles com­pul­sifs, addic­tion sex­uelle, boulim­ie, abus de médica­ments ou de drogues, addic­tion au jeu, ce sont tous des com­porte­ments qual­i­fiés d’honteux… Nos expéri­ences passées et nos éventuels lavages de cerveau subis nous inspirent la honte. “Ne pense pas…ne ressens rien…arrête de grandir ou de changer…oublie de vivre…honte à toi !” La honte, ça suf­fit ! Attaquez-la. Déclarez-lui la guerre. Apprenez à la recon­naître et à l’éviter comme la peste. » La Bible dit : « Qui accusera les élus de Dieu ? » (Ro 8.33). Que nous soyons l’offenseur ou l’offensé : « Le sang de Jésus son Fils nous puri­fie de tout péché » (1Jn 1.7). Notez bien le mot « tout ». Au lieu de par­ler de vos états d’âme, com­mencez à dire ce dont vous êtes sûr(e) ! La Bible, qui reflète l’opinion de Dieu sur vous, est la plus grande force de guéri­son sur terre. Alors lisez-la, croyez-la, par­lez-en, et appuyez-vous sur elle. Faites-le et vous ver­rez que la honte dis­paraî­tra bien­tôt de vos pensées.