En revenant sur votre vie passée, ce qui vous réjouira le plus est de savoir que vous avez fait la volon­té de Dieu. Mais pour que cela arrive, vous devez vrai­ment l’avoir voulu. Jésus a dit : « Si quelqu’un veut faire sa volon­té, il recon­naî­tra si cet enseigne­ment vient de Dieu, ou si mes paroles vien­nent de moi-même » (Jn 7.17). Le vouloir est impor­tant. Plus que de vouloir finir vos études, vous mari­er, rem­bours­er votre mai­son ou tout autre chose, vous devez vouloir faire la volon­té de Dieu. Chuck Swin­doll écrit : « Par­fois je dis­ais vouloir faire sa volon­té mais je ne la fai­sais pas vrai­ment. C’est dur à recon­naître, mais avec le juste recul, je réalise qu’à cer­tains moments j’ai résisté à sa volon­té. Et j’ai appris qu’une résis­tance égoïste engen­dre de graves con­séquences. » Paul écrit : « Accom­plis­sez la volon­té de Dieu de tout votre cœur […]. Servez-les avec bonne volon­té, comme si vous serviez le Seigneur lui-même et non des hommes. Rap­pelez-vous que cha­cun […], sera récom­pen­sé par le Seigneur, selon le bien qu’il aura fait » (Ep 6.6–8, BFC). « Accom­plir la volon­té de Dieu de tout votre cœur » n’est pas une fig­ure de style. Plus que de plaire aux gens, d’ac­quérir des biens matériels ou un statut social, de rester en bonne san­té, votre plus grand désir devrait être de plaire à Dieu. Le Psalmiste a prié : « Je prends plaisir à faire ta volon­té, mon Dieu ! Et ta loi est au fond de mon cœur » (Ps 40.8). Votre prière devrait être : « Dans tous mes actes d’au­jour­d’hui, Seigneur, je désire te plaire et faire ta volonté. »