Ceux qui tra­vail­lent en syn­ergie œuvrent ensem­ble pour une grande cause. Cha­cun y prend du plaisir et fait de son mieux. John Wood­en, un ancien coach de l’équipe uni­ver­si­taire de bas­ket de Cal­i­fornie (UCLA), a dit : « Quand j’étais entraîneur, et même par la suite, je met­tais un point d’honneur à ne jamais dire “mon équipe” ou “mes joueurs”. Lorsqu’on me demandait : “Com­ment avez-vous gag­né le match ?” je cor­rigeais le jour­nal­iste en dis­ant : “Je n’ai pas gag­né le match, ce sont les joueurs qui l’ont gag­né et notre équipe a dom­iné nos adver­saires” ». Un petit détail, mais impor­tant pour moi. Cela reflète ma con­vic­tion que l’équipe appar­tient aux joueurs. Lorsque chaque mem­bre se sent pleine­ment respon­s­able, nous pou­vons réus­sir de bonnes choses. Au moment d’une vic­toire, un dirigeant sage reçoit les félic­i­ta­tions et les partage avec les autres. Paul rendait régulière­ment hom­mage à ceux qui avaient tra­vail­lé avec lui, recon­nais­sant leur con­tri­bu­tion : « Saluez Prisca et Aquilas, mes com­pagnons d’œu­vre en Christ-Jésus, qui ont exposé leur tête pour sauver ma vie ; ce n’est pas moi seul qui leur rends grâces, ce sont encore toutes les Églis­es des païens » (Ro 16.3–4). Si Dieu peut faire son œuvre sans vous, vous ne pou­vez rien faire sans les autres. Le musi­cien George Adams a dit : « Ce que nous sommes, nous le devons à des mil­liers d’autres per­son­nes. Tous ceux qui ont été bons avec nous et qui ont prodigué des paroles d’encouragement, ont par­ticipé à la con­struc­tion de notre car­ac­tère, de nos pen­sées ain­si que de notre réussite.