Le stress est en grande partie provoqué par le besoin de tout savoir à l’avance, tout contrôler. Même après avoir prié et confié en apparence le problème à Dieu, on vit selon ce principe : espérer le meilleur et prévoir le pire ! On ne met pas son argent en banque pour passer des nuits blanches à s’en soucier, n’est-ce pas ? Eh bien, c’est le moment d’avoir la même confiance en Dieu ! Si l’on est entraîné dans un tourbillon d’incertitudes et de doutes, il faut sans tarder le confier à Dieu. Pas le Dieu limité par le cerveau humain, mais le Dieu illimité dont les antécédents parlent d’eux-mêmes, dont la fidélité ne faiblit jamais et qui a gagné le droit de dire que rien n’est trop difficile pour lui. Jésus n’a jamais souffert comme nous de la peur de l’échec. Pourquoi ? Parce qu’il n’a jamais pensé ne pas réussir ce que son Père lui avait assuré qu’il pouvait faire. Il ne souffrait pas non plus de la peur du manque. Même s’il vivait simplement, il était chargé de subvenir à ses besoins et à ceux d’une équipe. Comment a‑t-il fait ? La Bible dit qu’il priait matin, midi et soir, restant en contact constant avec son Père céleste. Par conséquent, il savait où jeter les filets pour les remplir, et même trouver l’argent des impôts dans la bouche d’un poisson s’il le fallait. Certes, Dieu ne pourvoit peut-être pas exactement à vos besoins, mais il a promis de prendre soin de vous. Voici une promesse qui pourra vous servir aujourd’hui : « Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car il prend soin de vous » (1P 5.7).
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