Ren­con­trez-vous des dif­fi­cultés pour élever seul vos enfants ? Enseignez-leur ces trois principes qui pren­dront aus­si de l’im­por­tance pour vous, car vous ver­rez que l’on s’é­duque en éduquant autrui. 1) Apprenez-leur à aimer les gens impar­faits. Qu’ils sachent qu’aimer, c’est pren­dre un risque qui en vaut la peine. Dites-leur ce qui con­tribuera à les faire mûrir, de sorte qu’ils ne som­brent pas dans le cynisme, blasés de tout. Expliquez-leur qu’aimer les gens, c’est les appréci­er pour ce qu’ils ont de bien et accepter leurs imper­fec­tions. De plus, vous leur éviterez bien des désil­lu­sions si vous leur dites qu’ils seront déçus par les autres et que la solu­tion pro­posée par Dieu est celle-ci : « l’amour cou­vre une mul­ti­tude de péchés ». 2) Dites-leur que l’avenir peut être préférable au passé. Si nous sommes con­sumés par notre passé, rap­pelons-nous que la com­bus­tion trans­forme la matière en énergie. Lais­sons nos souf­frances du passé devenir ce com­bustible qui trans­formera notre avenir en une énergie de com­pas­sion, de sagesse et d’espérance. La plu­part de ceux que nous admirons ont con­nu l’échec. Le vain­queur de l’année est sou­vent le per­dant de l’année précé­dente. C’est pourquoi, après l’échec, apprenez à repar­tir d’un nou­veau pied pour aller de l’avant. Quand vous faites cela, « Tout est pos­si­ble » (Mt 19.26). 3) Apprenez-leur à s’adapter au change­ment. Si vous restez dans le passé, ce sera au détri­ment de votre avenir. Après avoir sur­mon­té un trau­ma­tisme et une fois votre colère apaisée, recom­mencez à faire des pro­jets. Approchez-vous de Dieu et recom­mencez à vivre. Ne vous lais­sez pas enfer­mer par une sit­u­a­tion qui n’était qu’une étape dans votre par­cours, car cela aus­si passera, alors lais­sez-la partir !