Vous aimez Parole du Jour ? Pourquoi ne pas soutenir cette belle mis­sion de PHARE MEDIA?
Je fais un don main­tenant ici!

Un jour, James Dob­son emmène ses jeunes enfants en vacances de ski en Cal­i­fornie. Sup­port­er deux enfants qui se plaig­nent du froid et se dis­putent les gants et les écharpes s’avère éprou­vant pour les nerfs. Mais lors de ce voy­age, il prend une leçon qu’il n’ou­bliera jamais. Il racon­te : « Après avoir instal­lé les enfants au chalet, je gare la voiture et attends la navette qui doit m’emmener au som­met des pistes en com­pag­nie d’une quin­zaine de jeunes skieurs. Je remar­que par­mi eux une fille d’environ vingt ans. Je recon­nais dans ses yeux le signe indé­ni­able d’un retard men­tal. Elle se com­porte de façon étrange et répète inlass­able­ment et sans rai­son :« C’est n’importe quoi ». Les autres jeunes rient et la dévis­agent avec osten­ta­tion. Puis je remar­que un homme à ses côtés qui doit être son père. Il voit bien la moquerie et le mépris sur les vis­ages. Alors il passe ses bras autour d’elle, la regarde avec amour, et dit : « T’as rai­son bébé, c’est n’importe quoi. » La com­pas­sion dans sa voix et ses gestes sem­blent dire : « Oui, c’est vrai. Elle a des capac­ités très lim­itées. Elle n’écrira ni chan­son ni roman. En fait, elle n’a même pas été à l’école. On a fait le max­i­mum pour elle. Mais sachez bien ceci : c’est ma fille et je l’aime. Elle est tout pour moi. Je n’ai pas honte d’être son père ou d’être vu à ses côtés. “T’as rai­son bébé, c’est n’importe quoi !” » Dob­son avoue avoir demandé par­don au Seigneur de se plain­dre de ses enfants, et avoir eu hâte de les ser­rer dans ses bras à son retour au chalet.

Parole du Jour « trans­forme vos vies », c’est vous qui le dites : « Je vous remer­cie pour votre encour­age­ment à tra­vers Parole du Jour. Je suis bénie et trans­for­mée jour après jour. » — Suzie