Si vous êtes pris­on­nier de guerre, l’en­ne­mi con­trôle tous vos mou­ve­ments et décide chaque jour de ce que sera votre vie. L’ennemi vous a‑t-il cap­turé ? Peut-être avez-vous ten­té encore et encore de vous libér­er de votre addic­tion mais qu’elle vous empris­onne tou­jours. Voici une bonne nou­velle : « Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réelle­ment libres ». Que vous soyez dépendant(e) des drogues, du sexe, de l’al­cool, du jeu, ou autres, votre solu­tion n’est pas naturelle, mais sur­na­turelle. Votre addic­tion est le symp­tôme d’un état spir­ituel pro­fond que Jésus le Grand Médecin veut guérir. Au cœur de chaque pro­gramme en douze étapes se trou­ve cette vérité : le seul moyen d’être libre et de le rester est de nous tourn­er vers une per­son­ne plus forte que nous et de dévelop­per une rela­tion avec elle. Nous, nous savons que cette per­son­ne, c’est Jésus ! Si vous êtes angoissé(e), irri­ta­ble et mécontent(e), c’est sa présence qui apporte la paix et la sérénité. Si vous êtes tenté(e) par votre addic­tion pour trou­ver un soulage­ment, sa présence comble votre vide intérieur et vous rend capa­ble d’y résis­ter. Et si les « bons sou­venirs » vous amè­nent à penser que votre dépen­dance vous a fait plus de bien que de mal, sa Parole renou­velle votre esprit et cor­rige votre atti­tude, en vous indi­quant la bonne voie à pren­dre à ce moment-là : « Ta parole est une lampe à mes pieds et une lumière sur mon sen­tier » (Ps 119.105). Pierre a dit : « Le Seigneur sait com­ment délivr­er de l’épreuve ceux qui lui sont attachés » (2P 2.9). Aujour­d’hui, Dieu veut vous ren­dre libre.