Saviez-vous que le plus long télé­gramme de l’Histoire a été envoyé en mai 1881 et comp­tait 188 000 mots ? C’est le Chica­go Times, l’un des plus grands quo­ti­di­ens améri­cains, qui l’a pub­lié. Il com­por­tait les qua­tre Évangiles, les Actes des Apôtres et l’épître aux Romains. « Pub­lic­ité gra­tu­ite à grande échelle » a titré la presse nationale. Tout cela à cause du lance­ment d’une nou­velle ver­sion anglaise du Nou­veau Tes­ta­ment. En 24 heures, 33 000 exem­plaires ont été ven­dus à New York, vente record pour un livre. Pourquoi la Bible reste-t-elle le livre le plus lu au monde ? Pour une rai­son sim­ple : les autres livres, vous les lisez, mais la Bible, c’est elle qui vous lit ! Vous allez dire : « Je ne com­prends pas grand-chose lorsque je lis la Bible ». Vous n’êtes pas le seul, beau­coup de gens dis­ent la même chose. Mais il n’en sera pas tou­jours ain­si. F.B. Mey­er, un grand his­to­rien, spé­cial­iste de la Bible, a écrit : « Ne lisez pas la Bible comme un jour­nal mais comme une let­tre d’amour. Elle ressem­ble à des fruits célestes mis à notre portée pour être récoltés. Si vous trou­vez une promesse qui a l’allure d’un chèque en blanc, encais­sez-la. Si vous trou­vez une prière, lancez-la vers Dieu, comme vous le feriez avec une flèche tirée du car­quois de vos aspi­ra­tions ». Pourquoi avons-nous besoin de lire la Bible ? Dans un monde où la con­fi­ance fait de plus en plus défaut, aucune parole de ce livre n’est jamais restée sans effet (1R 8.56).