
Il faut être prêt à payer le prix du changement. Un auteur fait remarquer que « pour savoir ce que l’on veut, il faut d’abord savoir ce qu’il faut abandonner avant de l’obtenir ». Le changement a toujours un coût, que ce soit en temps, en argent, en créativité et en énergie. S’il ne vous coûte rien, il ne s’agit sans doute pas d’un véritable changement ! Pour apporter les changements nécessaires à l’amélioration et au développement, il est essentiel de comparer le coût du changement à celui de la situation actuelle. Bien que le changement puisse favoriser croissance, il peut aussi entraîner des regrets, surtout lorsqu’il s’agit d’abandonner certaines choses pour en adopter d’autres. Quel est le coût réel des changements que vous envisagez ? Paul a écrit : « Je considère tout comme une perte à cause de la supériorité de la connaissance de Jésus-Christ, mon Sauveur. A cause de lui, j’ai accepté de tout perdre, et je considère tout comme des ordures, afin de gagner le Christ et d’être trouvé en lui […] avec une justice venant de Dieu et fondée sur la foi. Il s’agit maintenant de le connaître, lui, ainsi que la puissance de sa résurrection et la communion de ses souffrances, en étant configurés à lui dans la mort, pour parvenir, si possible, à la résurrection d’entre les morts. Ce n’est pas que j’aie déjà obtenu tout cela […] mais je le poursuis, tâchant de le saisir, pour autant que moi-même j’ai été saisi par Jésus-Christ » (v.8–12). Souhaitez-vous changer et êtes-vous prêt(e) à en payer le prix ?