Quand on aborde une tâche dont on n’est pas sûr, il convient de se demander : « Est-ce pour la gloire de Dieu ? » En suivant cette règle, on ne se trompe jamais. Soyons précis. Si je gagne mon argent honnêtement, je peux le dépenser à ma guise. Une fois que je donne à Dieu sa part, un minimum de 10 %, je décide de ce que je ferai du reste. Cependant, mes décisions financières ont des conséquences qui affectent aussi ma famille. Lorsque je m’endette, j’ai du mal à rembourser, et les miens souffrent avec moi. Il en va de ma réputation auprès des autres. Et même si je peux me le permettre, la question est : Dieu sera-t-il content ? Et qu’en est-il de mes relations ? Je suis célibataire et j’aspire à briser ma solitude. Il est donc légitime de chercher quelqu’un à aimer. Mais de nos jours, la passion incontrôlée mène au sexe avant le mariage, et la société ferme les yeux. Si je suis enfant racheté de Dieu, je suis différent. Jésus a dit que nous sommes dans le monde, mais pas de ce monde. Ça veut dire que nous suivons des règles données par les Écritures. Peut-être que le ou la partenaire verra le refus de l’intimité sexuelle comme un rejet. C’est sans doute même un cas de rupture. Que faire alors ? Juste me demander si mon attitude glorifie et contente Dieu. Certes, plaire à Dieu n’est pas facile et ne l’a jamais été. Et la Bible ne dit pas le contraire. Mais si je cherche la joie, le respect de moi-même, la confiance et l’intégrité, je dois suivre le bon chemin, celui qui rend toujours gloire à Dieu.
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