"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don
Quand on aborde une tâche dont on n’est pas sûr, il convient de se demander : « Est-ce pour la gloire de Dieu ? » En suivant cette règle, on ne se trompe jamais. Soyons précis. Si je gagne mon argent honnêtement, je peux le dépenser à ma guise. Une fois que je donne à Dieu sa part, un minimum de 10 %, je décide de ce que je ferai du reste. Cependant, mes décisions financières ont des conséquences qui affectent aussi ma famille. Lorsque je m’endette, j’ai du mal à rembourser, et les miens souffrent avec moi. Il en va de ma réputation auprès des autres. Et même si je peux me le permettre, la question est : Dieu sera-t-il content ? Et qu’en est-il de mes relations ? Je suis célibataire et j’aspire à briser ma solitude. Il est donc légitime de chercher quelqu’un à aimer. Mais de nos jours, la passion incontrôlée mène au sexe avant le mariage, et la société ferme les yeux. Si je suis enfant racheté de Dieu, je suis différent. Jésus a dit que nous sommes dans le monde, mais pas de ce monde. Ça veut dire que nous suivons des règles données par les Écritures. Peut-être que le ou la partenaire verra le refus de l’intimité sexuelle comme un rejet. C’est sans doute même un cas de rupture. Que faire alors ? Juste me demander si mon attitude glorifie et contente Dieu. Certes, plaire à Dieu n’est pas facile et ne l’a jamais été. Et la Bible ne dit pas le contraire. Mais si je cherche la joie, le respect de moi-même, la confiance et l’intégrité, je dois suivre le bon chemin, celui qui rend toujours gloire à Dieu.