Le bon­heur durable n’est ni dans l’ar­gent ni dans le suc­cès. Ces choses-là sont-elles mau­vais­es ? Non. En fait, lorsque vous met­tez Dieu en avant, il va vous les accorder ! (Mt 6.33) Mais ne lais­sez jamais ce que Dieu vous donne lui vol­er la pre­mière place dans votre vie. Le Psalmiste a dit : « Heureux l’homme qui craint l’Éter­nel, qui trou­ve un grand plaisir à ses com­man­de­ments. Sa descen­dance sera vail­lante dans le pays, la généra­tion des hommes droits sera bénie. Il a dans sa main des biens et des richess­es, et sa jus­tice sub­siste à jamais. La lumière se lève dans les ténèbres pour les hommes droits, pour celui qui fait grâce, qui est com­patis­sant et juste. Il est bon qu’un homme fasse grâce et qu’il prête, qu’il règle ses affaires d’après le droit ! Car il ne chan­cellera jamais ; le sou­venir du juste dure tou­jours. Il ne craint pas de mau­vaise nou­velle ; son cœur est ferme, con­fi­ant en l’Éter­nel. Son cœur est inébran­lable ; il n’a pas de crainte, à la fin, sa vue s’ar­rêtera sur ses adver­saires. Il fait des largess­es, il donne aux pau­vres ; sa jus­tice sub­siste à jamais ; sa puis­sance s’élève avec gloire » (Ps 112.1–9). Quelqu’un a dit que les meilleures choses ne sont juste­ment pas des « choses ». Le bon­heur n’est pas déter­miné par ce que vous pos­sédez ; il est lié à vos rela­tions, et la plus impor­tante est votre rela­tion avec Dieu car chaque béné­dic­tion de la vie découle de lui. Dans un monde d’ur­gence et de con­fu­sion, Dieu vous don­nera les valeurs et les pri­or­ités selon lesquelles vivre. « Heureux l’homme […], qui trou­ve un grand plaisir à ses commandements ».