Selon des recherch­es en neu­rolo­gie, vous pou­vez vous entraîn­er à par­ler et écouter de façon à stim­uler la con­fi­ance et la sym­pa­thie dans l’esprit de votre inter­locu­teur. C’est très pré­cieux en com­mu­ni­ca­tion ! Voici quelques principes avérés pour vous aider à le faire : 1) Respirez pro­fondé­ment et étirez-vous avant de par­ler. Pour gér­er une sit­u­a­tion stres­sante, garder son calme est essen­tiel. Le stress génère de la ten­sion, la ten­sion mène à la colère, et la colère vous rend inca­pable de faire pass­er votre mes­sage. Alors respirez à fond en comp­tant lente­ment jusqu’à cinq. Il est établi que l’étire­ment des mus­cles du cou et le bâille­ment don­nent à votre cerveau des capac­ités de com­mu­ni­ca­tion accrues. Vous êtes « une créa­ture mer­veilleuse » (Ps 139.14). 2) Ayez des pen­sées pos­i­tives. « Il est tel que sont les arrière-pen­sées de son âme » (Pr 23.7). Chaque pen­sée néga­tive peut inter­fér­er avec les régions cérébrales où se for­ment le lan­gage, l’é­coute et la parole, et vous ren­dre défen­sif et sus­picieux. Des études en neu­rolo­gie affir­ment qu’une pen­sée pos­i­tive sur une per­son­ne, vous-même ou le sujet traité, peut con­tribuer à votre réus­site dans vos rela­tions per­son­nelles et pro­fes­sion­nelles. 3) Con­cluez avec un sourire. Votre vis­age révèle vos sen­ti­ments. « Jacob remar­qua que le vis­age de Laban n’é­tait plus envers lui comme aupar­a­vant » (Ge 31.2). Selon la recherche, penser aux bons moments passés et aux gens qui vous aiment donne à votre vis­age un air de gen­til­lesse, de com­pas­sion et d’in­térêt qui stim­ule la con­fi­ance et l’ou­ver­ture chez les autres.