David a dit : « Heureux celui dont la trans­gres­sion est enlevée, dont le péché est par­don­né » (Ps 32.1). Jamais nous ne pour­rons pay­er la dette de nos péchés. Et Dieu mer­ci, nous n’avons pas à le faire, car « Dieu a tant aimé le monde qu’il a don­né son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éter­nelle » (Jn 3.16). Il y a des années, une paroisse avait décidé d’honor­er un de ses anciens pas­teurs. Il avait 92 ans, et cer­tains doutaient qu’on puisse encore lui deman­der un dis­cours à son âge. Sous les applaud­isse­ments, il s’est levé de sa chaise, et s’est dirigé lente­ment et digne­ment vers le pupitre. Sans la moin­dre note, il a déclaré : « Quand vos pas­teurs m’ont invité ici, ils m’ont demandé de par­ler de la plus grande leçon que j’ai apprise durant mes cinquante ans de min­istère. J’y ai longue­ment réfléchi et je peux vous dire que la seule chose qui m’a per­mis de faire une dif­férence et de tenir bon, la seule chose sur laque­lle je peux compter quand les larmes, le cha­grin, la peine, la peur et la tristesse me paral­y­sent, la seule chose qui me con­sole, c’est que Jésus m’aime ! Je le sais car la Bible l’affirme. Les petits lui appar­ti­en­nent. Ils sont faibles, mais il est fort. Jésus m’aime. Il m’aime. Il m’aime. La Bible l’affirme ». Le vieil homme est retourné vers son siège dans le silence le plus com­plet. L’assemblée n’a jamais oublié ce moment. Ne l’ou­bliez pas non plus : Jésus vous aime sans con­di­tion. C’est vrai aujour­d’hui, demain et à jamais !