"Dieu m'a invitée à travers Parole du Jour à retrouver une pratique régulière et à me rendre dans une église ouverte et accueillante." Hélène Je fais un don

Les offens­es les plus dif­fi­ciles à par­don­ner sont celles que nous infli­gent nos proches. Pourquoi ? Parce que nous devons vivre avec eux tous les jours ! Quand on est petit, les émo­tions sont si fortes que cer­taines blessures ne cica­trisent jamais. La souf­france est encore pire si l’a­gresseur fait par­tie de son entourage. Une mère qui rejette son enfant au lieu de lui prodiguer son amour, un père alcoolique auteur de vio­lences ou d’abus sex­uels : les vic­times de ces hor­reurs peu­vent con­tin­uer à éprou­ver de l’amertume et de la colère bien des années après les faits. Cette colère qui rejail­lit peut con­duire à faire du mal aux gens qu’on aime. Quelle est la solu­tion ? Le par­don. Archibald Hart définit le par­don comme « le fait d’abandonner mon droit de te bless­er pour m’avoir blessé ». Vos blessures ne peu­vent guérir qu’à par­tir du moment où vous avez la matu­rité néces­saire pour par­don­ner à ceux qui vous ont blessé, qu’ils aient ou non demandé par­don. Jésus dit : « Et lorsque vous êtes debout en prière, si vous avez quelque chose con­tre quelqu’un, par­don­nez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous par­donne aus­si vos fautes ». N’ou­bliez pas : Dieu ne vous par­donne que si vous par­don­nez. Vous dites : « Mais si je leur par­donne, ils ont le champ libre ». Non, vous avez le champ libre ! Libre de la souf­france et de l’amertume, Dieu peut vous bénir. Lais­sez l’offenseur et l’offense entre les mains de Dieu. Lui seul sait ce qu’ils ont fait et pourquoi ils l’ont fait. Dites-vous seule­ment qu’il n’y a pas de guéri­son sans pardon.

Parole du Jour me nourrit et facilite ma méditation quotidienne. Je l'amène avec moi partout même pendant mes vacances ou quand je suis hospitalisée, et je la propose à ceux qui la veulent." Patricia Je fais un don