Qu’est-ce que les gens appré­cient sou­vent plus que votre argent ? Vous ! Pensez‑y. Qu’est-ce qui demande le plus d’ef­fort, rem­plir un chèque ou don­ner de votre temps et de votre énergie ? Qu’est-ce qui vous engage le plus ? Revoyez un instant les per­son­nes qui vous ont le plus marqué(e) : un pro­fesseur qui vous a aidé(e) à vous épanouir, un par­ent qui vous a aimé(e) et s’est sac­ri­fié pour vous, un men­tor qui vous a dépeint votre avenir puis vous a équipé(e) et mis(e) au défi de l’at­tein­dre. Hormis votre salut, qu’y aurait-il de plus grand ? Pesez bien ces mots : « Lorsque vous vous retournez sur tout ce que vous avez fait dans votre vie, vous tir­erez plus de sat­is­fac­tion des joies que vous avez apportées dans la vie d’autres gens que des moments où vous les avez sur­passés et vain­cus. » Nous sommes trop nom­breux à voir dans le don plus qu’un acte d’amour. Nous le con­sid­érons comme une trans­ac­tion. Nous ne don­nons que pour recevoir ! Sir Wil­fred T. Gren­fell a dit : « À l’év­i­dence, l’homme n’est qu’un pas­sager. Son objec­tif dans ce monde n’est pas de “pos­séder et garder” mais de “don­ner et servir”. Il ne peut en être autrement. » Il est si facile de vivre pour soi-même. En fait, c’est l’un de nos plus bas instincts, celui que nous devons sur­mon­ter chaque jour. Mais nous pou­vons pren­dre une autre voie, don­ner sans compter notre amour et notre temps. Par ces dons, votre générosité est à son comble !