Cessez d’être dur(e) avec vous-même

Lorsque vous péchez, l’E­sprit de Dieu va vous con­va­in­cre qu’il faut vous repen­tir et chang­er de cap. Mais jusqu’à ce que vous obte­niez votre corps glo­rieux dans le ciel, vous aurez tou­jours à com­pos­er avec le péché. L’apôtre Jacques a écrit: « Nous com­met­tons tous des erreurs, de bien des manières ». L’échec n’est pas de tomber mais de rester à terre ! Relevez-vous, sec­ouez-vous, recevez la grâce de Dieu, tirez des leçons de l’ex­péri­ence, et avancez. La Bible dit : « Il n’y a plus de con­damna­tion pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ » (Ro 8.1, BFC). Dieu ne vous con­damne pas, alors cessez de vous con­damn­er vous-même. Dieu n’en a pas encore fini avec vous. Par­fois nous com­met­tons des erreurs en voulant bien faire. En 1957, les usines Ford sor­tent un nou­veau mod­èle bap­tisé « voiture de la décen­nie » Allez dire ça aux con­duc­teurs qui ont vu leurs portes mal se fer­mer, leur klax­on se coin­cer et leurs trans­mis­sions lâch­er ! Et n’ou­bliez pas la tour de Pise en Ital­ie, pour laque­lle l’ar­chi­tecte a prévu des fon­da­tions de 3 mètres de pro­fondeur alors qu’elle s’élève à plus de 55 mètres ! Aimeriez-vous avoir cette ligne sur votre CV ? En fait, les gens les plus tal­entueux font sou­vent les pires erreurs. Salomon écrit : « Il n’y a sur la terre point d’homme juste qui fasse le bien et qui ne pèche pas » (Ec 7.20). Et Paul ajoute : « Ce n’est pas que j’aie déjà rem­porté le prix ou que j’aie déjà atteint la per­fec­tion ; mais je pour­su­is ma course afin de le saisir, puisque moi aus­si, j’ai été saisi par le Christ-Jésus » (Ph 3.12). Alors cessez d’être dur(e) avec vous-même.