1) Un rêveur est prêt à faire des concessions. Si Dieu vous donne un rêve, vous devez être disposé(e) à perdre votre popularité à la poursuite de l’excellence, et renoncer à une satisfaction immédiate au profit du long terme. Paul avait compris ce principe : « De ville en ville, le Saint-Esprit atteste et me dit que des liens et des tribulations m’attendent. Mais je ne fais aucun cas de ma vie » (Ac 20.23–24). 2) Un rêveur est rarement apprécié : « Joseph fit un rêve et le rapporta à ses frères, qui le haïrent encore davantage ». Certains vont détester vos rêves car ils ressemblent à ceux qu’ils ont oubliés en route. Et s’il leur prend l’envie de vous en détourner, ils reviendront dans leur zone de confort. Ils vont vous servir les prétextes « rationnels » qui leur sont familiers. Comment leur répondre ? Aimez-les, aidez-les si possible, mais ne vous laissez pas influencer s’ils ont perdu leurs rêves. John Mason a écrit : « Si vous marchez avec Dieu, on vous critiquera. Le seul moyen d’éviter la critique est de ne rien faire et n’être rien. » 3) Un rêveur est gagnant. Grâce à son rêve, Joseph a pu résister à la tentation, coincé par la femme de Potiphar, trahi par sa famille et injustement emprisonné. Ce genre de situations nous serait fatal. L’essence-même de nos rêves ne devrait être que le projet de Dieu pour notre vie. Pour découvrir son rêve, il faut connaître ses forces et ses faiblesses. Voyez où Dieu vous a placé(e), recherchez ses conseils et trouvez des opportunités tout comme une « connexion céleste ». Ainsi, il vous donnera un rêve pour votre vie et vous aidera à l’accomplir.