Si Dieu affirme vous avoir don­né une chose, ça veut dire que votre nom fig­ure sur le titre de pro­priété. Mais s’il vous dit d’en pren­dre pos­ses­sion, ça peut vouloir dire qu’il fau­dra vous bat­tre pour l’acquérir. Si vous ne le faites pas, vous n’obtiendrez pas ce qu’il vous a promis. À cet instant, des tas de gens vivent sans doute dans la « mai­son de vos rêves » et exer­cent le « méti­er de vos rêves ». Ne soyez pas jaloux, réjouis­sez-vous ! Dieu peut vous don­ner la même chose ! Si vous êtes fatigué(e) de par­ler de ce qui vous manque, lev­ez-vous et cherchez-le. Et lorsque vous le trou­vez, rap­pelez-vous que ce n’est pas grâce à votre sagesse et vos tal­ents, mais parce que Dieu vous l’a don­né (voir De 8.18). La Bible dit qu’il « nous a don­né tout ce qui con­tribue à la vie et à la piété » (2P 1.3). Soyez d’abord persuadé(e) de la promesse en votre for intérieur et elle se man­i­festera à l’ex­térieur. Par exem­ple, votre défi peut-être de vous croire guéri(e) dans votre esprit avant de le con­stater dans votre corps. Si une chose ne se réalise pas sur le champ, ça ne veut pas dire qu’elle n’ar­rivera pas. Quand on demande à Dieu un chêne, il arrive qu’il nous donne un gland. On pense alors qu’il n’a ni enten­du ni répon­du à nos prières. Au con­traire, le chêne se trou­ve déjà dans le gland. Il lui faut juste du temps pour éclore. La semence des promess­es de Dieu se trou­ve déjà en nous. Il faut l’ar­roser, la nour­rir, et ne laiss­er per­son­ne la déracin­er à tra­vers l’in­cré­dulité. En d’autres ter­mes, remer­ciez Dieu pour ce qu’il va faire dans votre vie.