Cer­tains se com­plaisent dans le con­flit. Ils sont sans cesse en train de harcel­er les autres, se dis­put­er avec tout le monde, être à tout pro­pos en désac­cord. Ils trou­vent tou­jours un motif pour se quereller. Ils se bagar­rent juste pour le plaisir, non pour un motif louable. Ils saut­ent sur la moin­dre occa­sion de se bat­tre et gaspillent leur énergie dans des affaires qui ne les con­cer­nent pas. Ces gens parais­sent sûrs d’eux, mais pren­nent pour­tant des déci­sions mal­v­enues. Il leur faut tou­jours avoir le dernier mot pour se sen­tir bien. On se met donc à les éviter et ils per­dent toute crédi­bil­ité à nos yeux. Quand il s’agit des rela­tions avec les autres, « la sagesse d’en-haut » est indis­pens­able. Si vous l’avez, nul besoin de met­tre les autres au tapis juste pour mon­tr­er votre force et votre supéri­or­ité. La vraie con­fi­ance en soi, qui com­prend l’aptitude à pren­dre les bonnes déci­sions, provient de l’intérieur. Jacques a écrit : « La sagesse d’en-haut est d’abord pure, ensuite paci­fique, mod­érée, con­ciliante, pleine de mis­éri­corde et de bons fruits, sans par­tial­ité, sans hypocrisie. Le fruit de la jus­tice est semé dans la paix par les arti­sans de paix » (v.17–18). Quand vous agis­sez en accord avec ces principes bibliques, vous saurez quelle bataille mérite votre impli­ca­tion. Si vous avez en vue la récom­pense que Dieu met devant vous, vous réalisez que cer­taines choses ne méri­tent ni votre temps, ni votre atten­tion. Alors, vous pren­drez de meilleures déci­sions pour vous et pour les autres.