Paul écrit : « Les Juifs deman­dent des mir­a­cles, et les Grecs cherchent la sagesse : nous, nous prê­chons Christ cru­ci­fié, scan­dale pour les Juifs et folie pour les païens, mais pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs, Christ, puis­sance de Dieu et sagesse de Dieu » (v.22–24). Il n’y a pas de fil­ière juive ou non-juive pour obtenir le salut. L’unique chemin vers le salut passe par la croix ! Tout le monde a les mêmes besoins. On doit savoir ce qui est bien et pou­voir le faire. On a besoin de sagesse pour savoir quoi faire, et de puis­sance pour le réalis­er. Christ offre les deux à tra­vers la croix. Au début de son min­istère, Bil­ly Gra­ham avait prêché devant une grande foule à Dal­las, et son mes­sage était assez mal passé. En descen­dant de l’estrade, un vieil homme lui avait con­fié : « Ton mes­sage était bon, mais tu n’as pas par­lé de la croix ! » Bil­ly était ren­tré chez lui, avait pleuré et pris une déci­sion : « Je ne ferai jamais plus de ser­mon sans le cen­tr­er sur la croix. » À par­tir de ce jour, Dieu l’a util­isé pour amen­er à Christ plus de per­son­nes que n’importe quel prédi­ca­teur dans le monde. Il y a juste assez d’ego en cha­cun de nous pour vouloir con­tribuer à notre salut en faisant de bonnes œuvres. Mais c’est impos­si­ble. Robert Lowry a écrit : « Qu’est-ce qui peut laver mon péché ? Rien que le sang de Jésus. Qu’est-ce qui peut me restau­r­er ? Rien que le sang de Jésus. Qu’il est pré­cieux ce flot qui m’a ren­du plus blanc que neige. Nulle autre source con­nue, rien que le sang de Jésus. »