Certains passent à côté des bonnes choses de la vie parce qu’ils se focalisent uniquement sur ce qui va mal. Ils ne voient que les mauvaises herbes du jardin, pas les fleurs. Ce sont les adeptes du « oui, mais ». Pour les aider, il faut : 1) les discerner. Leur fausse assurance cache souvent une insécurité profonde. Ils masquent leurs angoisses en pointant les défauts des autres. 2) les accepter. On a tendance à éviter les gens difficiles. C’est une erreur. Ils aiment bien qu’on les ignore, et les éviter leur permet de se draper dans leur dignité pour se cacher. De plus, ça les conforte dans l’idée que vous ne les écouterez pas car de toute façon c’est vous qui avez raison et c’est eux qui ont tort. 3) s’occuper d’eux. Montrez un réel intérêt pour leur famille, leur travail et leur santé. Les « oui, mais » ont souvent du mal à donner et à recevoir de l’amour. Ils préfèrent les opinions tranchées et le légalisme aux échanges et aux réconciliations. C’est surtout visible dans leur vie privée. Alors faites preuve d’empathie face à leurs relations brisées. 4) les aimer. La Bible dit : « L’amour est patient, l’amour est serviable, […] il pardonne tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout. L’amour ne succombe jamais » (1Co 13.4, 7–8). Éviter les « oui, mais » ne marche pas. Débattre avec eux ou les reprendre ne fonctionne pas non plus. On ne peut modifier les habitudes de toute une vie après une ou deux discussions. Au bout du compte, la seule stratégie gagnante est l’amour.