À l’époque, pour un bel ouvrage, on choisissait un maître charpentier. Il avait une coutume. Il enlevait son tablier, le pliait et le posait à l’écart pour signifier la fin des travaux. Alors lisez ceci : « Tôt le dimanche matin, […] Marie de Magdala se rendit au tombeau. Elle vit que la pierre avait été ôtée de l’entrée du tombeau. Elle courut alors trouver Simon Pierre et l’autre disciple, celui qu’aimait Jésus, et leur dit : “On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l’a mis.” Pierre et l’autre disciple partirent et se rendirent au tombeau. Ils couraient tous les deux ; mais l’autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau. Il se baissa pour regarder et vit les bandes de lin posées à terre, mais il n’entra pas. Simon Pierre, qui le suivait, arriva à son tour et entra dans le tombeau. Il vit les bandes de lin posées à terre et aussi le linge qui avait recouvert la tête de Jésus ; ce linge n’était pas avec les bandes de lin, mais il était enroulé à part, à une autre place. Alors, l’autre disciple, celui qui était arrivé le premier au tombeau, entra aussi. Il vit et il crut. En effet, jusqu’à ce moment les disciples n’avaient pas compris l’Écriture qui annonce que Jésus devait se relever d’entre les morts » (v.1–9). Cette bande de lin posée à part montrait que le maître charpentier avait achevé son œuvre. Le salut était garanti. Plus d’efforts à faire pour être sauvé, juste mettre sa confiance en Christ. Alors les péchés sont pardonnés et une place au ciel est assurée.
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