Dans les bons jours, il est facile de voir ses progrès, mais quand les temps sont durs, on n’a plus l’impression de progresser. Face à la douleur, la déception et l’adversité nous faisons appel à nos sentiments plutôt qu’à la fidélité de Dieu. De grâce, comprenez ceci : en tout temps vous êtes en sécurité dans la main de Dieu ! « Comme l’argile est dans la main du potier, ainsi vous êtes dans ma main ». Vous êtes un chantier qui avance. L’important, ce n’est ni ce qui vous arrive ni ce que vous pensez, mais l’engagement du Potier à finir ce qu’il a commencé. « Celui qui a commencé en vous une œuvre bonne, en poursuivra l’achèvement jusqu’au jour du Christ-Jésus » (Ph 1.6). Voici deux choses à vous rappeler quand vous êtes sur le tour : 1) Le Potier a le droit de vous modeler à sa convenance. Rien ne peut l’empêcher de faire de vous ce qu’il veut vous voir devenir. C’est un expert à transformer des blocs d’argile en objets précieux et utiles. « Le potier n’est-il pas maître de l’argile, pour faire […] un vase destiné à l’honneur » (Ro 9.21). Votre travail est de rester sur le tour et laisser Dieu faire de vous celui qu’il désire que vous soyez. 2) Le Potier a un plan différent pour chaque bloc d’argile. Ce n’est pas l’argile mais le Potier qui détermine le produit fini de la même façon que le Saint-Esprit détermine votre place et votre rôle dans le corps du Christ (1Co 12.18). Alors découvrez le projet du Potier et soumettez-vous à lui !