Un appel télé­phonique en pleine nuit, une tumeur maligne, un polici­er à votre porte, un enfant qui vous révèle qu’il se drogue, … Plus tard, vous con­naîtrez peut-être le « jour du mal­heur ». Dans un tel moment, c’est la force de votre rela­tion avec Dieu qui vous aidera à bien réa­gir. Selon C.S. Lewis, si l’épreuve ne nous apprend pas la sagesse qu’elle doit nous enseign­er, elle dur­era jusqu’à ce que nous y par­ve­nions. Un auteur a dit : « La méth­ode divine pour notre pré­pa­ra­tion par l’épreuve se trou­ve dans le Psaume 31 au ver­set 25 : “For­ti­fiez-vous”. Pourquoi ? Parce que Dieu com­bat à vos côtés. Vous devez con­naître Dieu pour puis­er vos forces en lui. Vous n’êtes pas seule­ment ce que les autres ou vous-même pensez de vous, et si Dieu vous dit que vous êtes fort, croyez-le ! Prenez courage et ne lais­sez pas la douleur vous arrêter. Prenez vos blessures, apportez-les à Dieu et choi­sis­sez d’aimer les autres, car per­son­ne ne voudrait se bat­tre pour quelqu’un qui reste replié sur lui-même. Comptez sur le Seigneur. Ne vous arrêtez pas aux émo­tions, aux cir­con­stances et aux rumeurs. Met­tez vos espoirs et vos rêves sur l’autel, et lais­sez Dieu faire toutes choses nou­velles. Tout ce qui n’est pas authen­tique échouera, et peu importe le temps passé dans l’atelier divin, vos pro­grès seront authen­tifiés grâce à l’épreuve. Si vous êtes pré­paré, votre réac­tion devien­dra naturelle, et il n’y a pas une sit­u­a­tion, une ten­ta­tion ou une ques­tion à laque­lle ne s’applique ce ver­set : “For­ti­fiez-vous dans le Seigneur et par sa force sou­veraine” (Ep 6.10). Dieu ne vous dit pas d’être inflex­i­ble, mais de vous repos­er sur sa force et le laiss­er faire ce qu’il sait être le meilleur pour vous ».