La Bible dit : « Ne méprise pas, mon fils, la cor­rec­tion de l’Éter­nel et ne t’ef­fraie pas de sa rép­ri­mande ; car l’Éter­nel rép­ri­mande celui qu’il aime, comme un père l’en­fant qu’il chérit » (v. 11–12). Parce que Dieu vous aime, il s’oc­cupe de tout ce qui, dans votre vie, pour­rait poten­tielle­ment nuire à vous et aux autres. Paul écrit : « Con­sid­ère donc la bon­té et la sévérité de Dieu » (Ro 11.22). Dieu vous repren­dra avec douceur, mais si vous n’é­coutez pas, il peut être amené à vous repren­dre avec sévérité. Il a trop investi en vous pour vous laiss­er tomber. Non seule­ment Dieu nous con­fronte, mais il attend que nous nous con­fron­tions les uns aux autres quand nous sommes dans l’er­reur. Paul a résisté à Pierre sur la ques­tion des non juifs par rap­port aux juifs, car le suc­cès de leur mis­sion en dépendait (Ga 2.14). Les con­fronta­tions saines ont six con­séquences : 1) La clarté. Vous avez une meilleure com­préhen­sion des gens et des événe­ments. 2) Le change­ment. Les choses devraient s’améliorer, à com­mencer par vous ! 3) De meilleures rela­tions. La con­fronta­tion bien gérée appro­fondi­ra votre rela­tion avec l’autre. 4) La pureté. Le dis­cours peut puri­fi­er et ramen­er la sérénité. 5) Le respect. Les gens vont encore plus appréci­er et respecter votre autorité. 6) La sécu­rité. Ils seront ras­surés de vous savoir assez fort pour pren­dre posi­tion au moment oppor­tun. Les gens veu­lent d’un chef qui dit : « En cas de prob­lème, je m’en occu­perai directe­ment, rapi­de­ment et avec respect. Je ferai tout pour rétablir la sit­u­a­tion et nous remet­tre sur de bons rails ».