"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Jésus pose cette curieuse ques­tion à un malade : « Veux-tu retrou­ver la san­té ? » Paralysé depuis trente-huit ans, il a gag­né la sym­pa­thie des gens. Il aurait même des raisons de dire : « Ce n’est pas de ma faute. » Pour­tant nous sommes tous respon­s­ables de nos com­porte­ments et de nos choix. En fait, tout le monde a souf­fert un jour ou l’autre. Mais si on s’en plaint encore vingt ans après, on n’est plus vic­time des cir­con­stances, mais de ses choix. On est vic­time par choix quand on pense que rumin­er le passé vaut mieux que de l’oublier ! Jésus a dit : « Si vous avez quelque chose con­tre quelqu’un, par­don­nez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous par­donne aus­si vos fautes » (Mr 11.25). Ça veut dire que quelqu’un vous a blessé(e) et que vous êtes respon­s­able de votre atti­tude envers lui. Jésus affirme que si vous refusez votre par­don, vous ne pou­vez pas être pardonné(e) à votre tour. Si vous ne cessez de pleur­er sur vos frus­tra­tions passées, vous en aurez encore davan­tage à l’avenir. Vous dites : « Si seule­ment il reve­nait deman­der par­don ! » C’est ça que vous atten­dez ? Ne perdez pas votre temps ! La clé du bon­heur se trou­ve entre vos mains, pas entre les siennes. Cette clé c’est le par­don. Atten­dez-vous que quelqu’un vous dise : « Je te par­donne » avant de pou­voir vous-même par­don­ner ? Et s’il ne le fait jamais ? Voici la recette pour être en paix : 1) Excusez-vous si néces­saire. 2) Rec­ti­fiez le tir si pos­si­ble. 3) Par­don­nez-vous à vous-même. 4) Avancez. Voulez-vous guérir ? Vous en con­nais­sez main­tenant les étapes.

Parole du Jour me nourrit et facilite ma méditation quotidienne. Je l'amène avec moi partout même pendant mes vacances ou quand je suis hospitalisée, et je la propose à ceux qui la veulent." Patricia Je fais un don