Les gens qui ont du suc­cès ont sou­vent une plus grande envie de réus­sir. Ils vont chercher ce qu’on se con­tente de rêver. Napoléon naît dans une famille pau­vre. Ses cama­rades de classe se moquent de lui. Mais lui se plonge dans les livres, tra­vaille dur et devient l’élève le plus bril­lant de sa classe. Il a fini par con­quérir une grande par­tie de l’Europe ! Si pour grandir, un arbre doit se fray­er un chemin à tra­vers les rochers pour attein­dre la lumière du soleil et ensuite résis­ter aux tem­pêtes et au gel, vous pou­vez être certain(e) que ses racines seront fortes et son bois résis­tant. Même la nature nous mon­tre qu’il est impos­si­ble de réus­sir sans ren­con­tr­er d’écueils. Si vous réus­sis­sez sans mal, d’autres ont sans doute peiné plus que vous. Si les obsta­cles vous mènent à l’échec, il est prob­a­ble que quelqu’un d’autre aura tiré les mar­rons du feu. Quoi qu’il en soit, il n’y a pas de réus­site sans adver­sité. Le meilleur de votre per­son­nal­ité se révèle au moment où vous pour­riez vous décourager et vous arrêter. Un prédi­ca­teur racon­te l’histoire d’un homme dont le mag­a­sin a entière­ment brûlé lors du grand incendie de Chica­go en 1871. Le lende­main matin, il arrive au tra­vail avec une table qu’il place au milieu des décom­bres avec cette inscrip­tion : « Tout est per­du, sauf ma femme, mes enfants et l’espérance. Les affaires repren­nent comme d’habitude demain matin. » Salomon a dit : « Si tu vois un homme habile dans son ouvrage il se tien­dra devant des rois » (Pr 22.29). Vous dites avoir soif de réus­sir ? Oui, mais à quel point ?