Pour bien com­mu­ni­quer : 1) Utilisez le « miroir des yeux ». Le con­tact visuel stim­ule les cir­cuits cérébraux du lien social, dimin­ue l’hor­mone du stress et accroît celle de la sym­pa­thie. Regarder l’autre dans les yeux vous per­met de réa­gir rapi­de­ment aux sept expres­sions basiques du vis­age : la colère, la peur, la tristesse, le dégoût, la sur­prise, le mépris et le bon­heur. Voilà des clés dont il faut vous servir. 2) Exprimez votre grat­i­tude. Vos pre­miers mots don­nent le ton à toute la con­ver­sa­tion. Un seul com­pli­ment peut créer la con­fi­ance. Des chercheurs de l’u­ni­ver­sité de Loy­ola ont décou­vert que si les gens sont à peu près d’accord quand ils inter­agis­sent, ils en tirent une sat­is­fac­tion mutuelle. En revanche, un désac­cord place immé­di­ate­ment l’auditeur sur la défen­sive. Com­mencez donc chaque con­ver­sa­tion par un com­pli­ment, et finis­sez-la en exp­ri­mant votre grat­i­tude. Les recherch­es démon­trent que les derniers mots sont par­ti­c­ulière­ment effi­caces parce qu’ils restent ancrés dans l’e­sprit de l’au­di­teur. « Les dis­cours agréables sont un ray­on de miel, douceur pour l’âme et remède pour le corps ». 3) Soyez bref. Notre con­science ne retient que peu d’in­for­ma­tions, immé­di­ate­ment chas­sées de notre mémoire dès qu’en appa­rais­sent d’autres. Il est préférable de ne dire qu’une phrase ou deux à la fois, puis de faire une pause. « Que tes paroles soient donc peu nom­breuses » (Ec 5.1). Si vous pensez avoir plus de choses à dire, aver­tis­sez vos audi­teurs à l’a­vance. Cela captera leur atten­tion et leur enlèvera toute arrière-pen­sée parasite.