"Récemment j'ai dû accompagner mon papa en fin de vie. Jour après jour, la lecture de Parole du Jour m'a apporté un grand réconfort et m'a permis de tenir bon à travers l'épreuve." Karine Je fais un don

Cer­tains passent à côté des bonnes choses de la vie parce qu’ils se focalisent unique­ment sur ce qui va mal. Ils ne voient que les mau­vais­es herbes du jardin, pas les fleurs. Ce sont les adeptes du « oui, mais ». Pour les aider, il faut : 1) les dis­cern­er. Leur fausse assur­ance cache sou­vent une insécu­rité pro­fonde. Ils masquent leurs angoiss­es en pointant les défauts des autres. 2) les accepter. On a ten­dance à éviter les gens dif­fi­ciles. C’est une erreur. Ils aiment bien qu’on les ignore, et les éviter leur per­met de se drap­er dans leur dig­nité pour se cacher. De plus, ça les con­forte dans l’idée que vous ne les écouterez pas car de toute façon c’est vous qui avez rai­son et c’est eux qui ont tort. 3) s’occuper d’eux. Mon­trez un réel intérêt pour leur famille, leur tra­vail et leur san­té. Les « oui, mais » ont sou­vent du mal à don­ner et à recevoir de l’amour. Ils préfèrent les opin­ions tranchées et le légal­isme aux échanges et aux réc­on­cil­i­a­tions. C’est surtout vis­i­ble dans leur vie privée. Alors faites preuve d’empathie face à leurs rela­tions brisées. 4) les aimer. La Bible dit : « L’amour est patient, l’amour est servi­able, […] il par­donne tout, il croit tout, il espère tout, il sup­porte tout. L’amour ne suc­combe jamais » (1Co 13.4, 7–8). Éviter les « oui, mais » ne marche pas. Débat­tre avec eux ou les repren­dre ne fonc­tionne pas non plus. On ne peut mod­i­fi­er les habi­tudes de toute une vie après une ou deux dis­cus­sions. Au bout du compte, la seule stratégie gag­nante est l’amour.

Parole du Jour me nourrit et facilite ma méditation quotidienne. Je l'amène avec moi partout même pendant mes vacances ou quand je suis hospitalisée, et je la propose à ceux qui la veulent." Patricia Je fais un don