"Dieu m'a invitée à travers Parole du Jour à retrouver une pratique régulière et à me rendre dans une église ouverte et accueillante." Hélène Je fais un don

Pour une bonne négo­ci­a­tion, il faut com­pren­dre les deux par­ties en présence. Les gens achè­tent rarement un pro­duit juste parce que vous voulez le ven­dre. S’ils sen­tent que vous voulez faire du prof­it plutôt que de répon­dre à des besoins, vous cour­rez à l’échec. Voici quelques élé­ments pour être un bon négo­ci­a­teur : 1) la bonne atti­tude. Per­son­ne n’aime se sen­tir for­cé ou poussé à acheter. 2) le coût pour l’autre. Il y a une énorme dif­férence entre traiter avec celui qui a assez d’argent pour pou­voir s’offrir n’importe quoi quel qu’en soit le prix, et celui qui doit se ser­rer la cein­ture parce qu’il a vrai­ment besoin de votre pro­duit. Si vous voulez fidélis­er un client plutôt que réalis­er une vente unique, respectez cette règle d’or : « Faites pour les autres tout ce que vous voulez qu’ils fassent pour vous » (Mt 7.12, BFC). 3) le bon moment. Salomon nous dit qu’il y a « un temps pour chercher et un temps pour per­dre » (Ec 3.6). Que vous demandiez une aug­men­ta­tion ou que vous ten­tiez de ven­dre un pro­duit, trou­ver le bon moment est très impor­tant. Si votre inter­locu­teur est en colère, fatigué ou stressé face à une crise, vous risquez d’échouer. Mais si vous atten­dez le bon moment, vous avez une chance de réus­sir. Dieu se soucie-t-il vrai­ment de ces détails ? Oui. Salomon affirme : « Le Seigneur veut que les bal­ances soient justes, il fixe la valeur des poids » (Pr 16.11, BFC). En tant que dis­ci­ple du Christ, faites le néces­saire pour que les deux par­ties se quit­tent avec le sen­ti­ment d’avoir été traitées équitablement.

Parole du Jour me nourrit et facilite ma méditation quotidienne. Je l'amène avec moi partout même pendant mes vacances ou quand je suis hospitalisée, et je la propose à ceux qui la veulent." Patricia Je fais un don