"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Il y a quelques années, Frank Fure­di a dénom­bré l’expression « en dan­ger » dans les jour­naux bri­tanniques. En 1994, le terme appa­rais­sait 2 037 fois. À la fin de l’année suiv­ante, ce total avait dou­blé. Courant 2000, « en dan­ger » était imprimé plus de 18 000 fois. Bon, le dan­ger était-il devenu neuf fois plus grand en six ans ? Ou bien avions-nous sim­ple­ment reçu les mau­vais­es nou­velles plus vite ? Tou­jours est-il que cette sur­in­for­ma­tion a pro­duit la généra­tion la plus médica­men­tée que l’homme n’ait jamais con­nue. Il n’y a pas que nous qui util­isons tran­quil­lisants et anti­dé­presseurs, nos enfants aus­si. Même les ani­maux de com­pag­nie sont con­cernés ! Certes, que Dieu soit loué pour les pro­grès de la con­nais­sance médi­cale, mais vous devez vous deman­der : « Com­ment se débrouil­laient les gens autre­fois ? Que fai­saient-ils quand ils étaient stressés ? » Voici des mots pour vous accom­pa­g­n­er du lever jusqu’à la fin du jour. « Ne t’ir­rite pas con­tre les gens mal­faisants, ne sois pas envieux de ceux qui font le mal : ils se faneront vite, comme l’herbe, comme la ver­dure ils se dessécheront. Fais con­fi­ance au Seigneur, agis comme il faut, et tu resteras au pays, tu y vivras en paix ; Trou­ve auprès du Seigneur ton plaisir le plus grand, et il te don­nera ce que tu lui deman­des. Remets ta vie au Seigneur, compte sur lui, et il fera le néces­saire. […] Le Seigneur sauve les fidèles, il est leur refuge au temps de la détresse. Il leur vient en aide et les met à l’abri, oui, à l’abri des méchants, et il les sauve, puisqu’ils ont eu recours à lui » (Ps 37.1–5, 39–40, BFC).