Lors de la perte d’un être cher, vous passez par un proces­sus de deuil. Dieu vous récon­forte et vous aide à le tra­vers­er. Jésus a dit : « Heureux ceux qui pleurent, car ils seront con­solés » (Mt 5.4). Le deuil est une bonne manière d’exprimer ses sen­ti­ments et de les sur­mon­ter. La guéri­son ne se fait pas du jour au lende­main. Une grande perte guérit moins vite qu’un petit cha­grin. Zig Ziglar écrit : « Les vingt heures les plus longues de ma vie ont été celles qui ont suivi le décès de ma fille. Alors que j’organisais les funérailles, j’ai dû écouter le bavardage inces­sant d’un vendeur un peu lourd. J’ai dû quit­ter la pièce deux fois, inca­pable de le sup­port­er. La nuit précé­dente, j’avais mal dor­mi. Je n’avais pas cessé de penser à ma fille à qui son papa devait sûre­ment man­quer. Le lende­main matin, je suis par­ti en balade. J’ai pleuré et prié tout le long du chemin. Au retour, le Seigneur m’a par­lé dis­tincte­ment : “Elle va bien. Elle est avec moi, et tu vas t’en sor­tir toi aus­si. Tu as juste besoin de moi. Con­tin­ue d’avancer, de par­ler, de prier, de pleur­er.” » Le cha­grin et la perte sont inévita­bles, mais ce sont des expéri­ences qu’on ne doit pas vivre seul. Le Psaume le plus con­nu de la Bible dit : « Quand je marche dans la val­lée de l’om­bre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi » (Ps 23.4). Après la pluie, le beau temps : « Le soir arrivent les pleurs, et le matin la jubi­la­tion » (Ps 30.5). Vous serez à nou­veau dans la joie. Dieu le promet !