Dans Malachie, le dernier livre de l’Ancien Tes­ta­ment, les Israélites deman­dent : « À quoi ça sert de servir Dieu ? » C’est une ques­tion que se posent les non-croy­ants et même par­fois les chré­tiens, surtout quand les temps sont durs et que la foi est mise à rude épreuve. Le Psalmiste nous donne la réponse : « Louez l’Éter­nel ! Heureux l’homme qui craint l’Éter­nel, qui trou­ve un grand plaisir à ses com­man­de­ments. Sa descen­dance sera vail­lante dans le pays, la généra­tion des hommes droits sera bénie. Il a dans sa main des biens et des richess­es, et sa jus­tice sub­siste à jamais. La lumière se lève dans les ténèbres pour les hommes droits, pour celui qui fait grâce, qui est com­patis­sant et juste. Il est bon qu’un homme fasse grâce et qu’il prête, qu’il règle ses affaires d’après le droit ! Car il ne chan­cellera jamais ; le sou­venir du juste dure tou­jours. Il ne craint pas de mau­vaise nou­velle ; son cœur est ferme, con­fi­ant en l’Éter­nel. Son cœur est inébran­lable ; il n’a pas de crainte, à la fin, sa vue s’ar­rêtera sur ses adver­saires. Il fait des largess­es, il donne aux pau­vres ; sa jus­tice sub­siste à jamais ; sa puis­sance s’élève avec gloire » (Ps 112.1–9). Voyez tous les prof­its qu’il y a à servir Dieu : le bon­heur, des enfants dont vous pou­vez être fiers, la réus­site, l’influence et les hon­neurs. Notez tout par­ti­c­ulière­ment ces mots : « Il ne craint pas de mau­vaise nou­velle ; son cœur est ferme, con­fi­ant en l’Éter­nel ». Ces béné­dic­tions font toutes par­tie de votre gros lot.