"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Daniel devait choisir : se con­former ou résis­ter. Quelle dif­férence ? Le con­formiste cède sous la pres­sion. Si elle est trop forte, il capit­ule. Il fume son pre­mier joint, boit son pre­mier verre et fait comme tout le monde. Mais le résis­tant ne déroge pas à ses principes. Vous dites : « C’est dur de vivre ain­si. » Oui, mais on est pro­tégé. Dieu sait mieux que nous com­ment éviter la douleur, la frus­tra­tion et la déso­la­tion dans notre vie. Il voit plus claire­ment le bord du gouf­fre. Il installe des bar­rières de sécu­rité devant le précipice. Quand nous obéis­sons à sa Parole, nous évi­tons le cha­grin, les écueils et la perte de répu­ta­tion. Refuser de manger la viande du roi n’était pas une ques­tion de régime, mais d’attachement à Dieu. Ce qui ne veut pas dire qu’il faut tou­jours suiv­re sa con­science. Elle n’est pas for­cé­ment fiable. Ce n’est pas parce que vous pensez qu’une chose est mau­vaise que c’est le cas. Votre con­science peut être faussée ou en som­meil. La Bible par­le d’une « con­science mar­quée au fer rouge » (1Ti 4.2, BFC). Paul écrit : « Je n’ai rien sur la con­science ; mais ce n’est pas pour cela que je suis jus­ti­fié. Celui qui me juge, c’est le Seigneur ». Cepen­dant, la con­science inter­vient tou­jours en pre­mier face à une déci­sion dif­fi­cile. Votre choix est rarement le bon si vous savez que votre con­science vous fait vous sen­tir coupable. Alors, vivez selon vos convictions.

"Les exhortations de Parole du Jour ont contribué à réellement changer ma vie. Je vous lis et vous écoute en sachant qu'une bénédiction va m'accompagner. Merci infiniment." Albéric Je fais un don