"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Paul écrit : « Trois fois j’ai sup­plié le Seigneur de l’éloign­er de moi, et il m’a dit : Ma grâce te suf­fit, car ma puis­sance s’ac­com­plit dans la faib­lesse. Je me glo­ri­fierai donc bien plus volon­tiers de mes faib­less­es, afin que la puis­sance de Christ repose sur moi. C’est pourquoi je me plais dans les faib­less­es, dans les out­rages, dans les pri­va­tions, dans les per­sé­cu­tions, dans les angoiss­es, pour Christ ; en effet quand je suis faible, c’est alors que je suis fort » (v.8–10). Paul n’a pas la réponse espérée jusqu’à ce qu’il cesse de prier et se mette à écouter. À force de vouloir souf­fler à Dieu ce qu’il devrait faire pour nous, on ne l’entend pas dire ce qu’il veut faire en nous. Si un prob­lème per­dure, peut-être est-il temps d’arrêter de par­ler et de ten­dre l’oreille. Dieu a don­né des leçons à Paul au moment oppor­tun, dans les dif­fi­cultés. Les mau­vais­es nou­velles des temps dif­fi­ciles s’avèrent donc au final être bonnes : on apprend plus de Dieu dans le fond d’une val­lée qu’au som­met d’une mon­tagne. C.S. Lewis explique com­ment Dieu utilise la souf­france pour com­mu­ni­quer avec nous. « Dieu chu­chote dans nos moments de joie, par­le à notre con­science, mais crie au milieu de nos souf­frances. » Avant que Dieu ne par­le, Paul voulait juste être débar­rassé de son prob­lème. Mais après, il a réal­isé qu’il avait trou­vé quelque chose de meilleur et de plus grand : une force sur­na­turelle réservée aux moments dif­fi­ciles quand on réalise que la présence de Dieu est plus grande que nos prob­lèmes et son but plus élevé que nos peines.

"Merci pour la médiation Parole du Jour. Même après 54 ans de conversion, j'en ai besoin et j'en fais profiter à une vingtaine de personnes autour de moi." Rosemée Je fais un don