Ellen Vaughn poursuit : « 3) Il nous faut aussi oublier nos succès, ce qui ne veut pas dire oublier nos grandes réalisations. Nous devons travailler et vivre de tout cœur pour Dieu qui prend plaisir à nos succès lorsqu’ils sont pour sa gloire. Mais nous devons oublier ceux-ci s’ils ont défini notre identité ou nous ont amenés à être complaisants, suffisants et satisfaits de nous-mêmes. Nous ne devons pas chérir le passé et nous attarder sur nos gloires passées. Veillons à ne pas raconter seulement des choses anciennes sur l’œuvre et la grâce de Dieu dans nos vies. Si nous pouvons citer uniquement des témoignages de la fidélité de Dieu par le passé mais aucun exemple récent, notre relation avec le Christ n’est pas à jour. Paul met en garde les Philippiens contre ceux qui voudraient mettre leur confiance dans les critères et les réalisations humaines : “Si d’autres considèrent qu’ils peuvent mettre leur confiance dans la chair, à plus forte raison moi” (Ph 3.4, NBS), dit-il en citant son impressionnant CV. Mais il ne se focalise pas sur son passé : Il dit : “Mais ce qui était pour moi un gain, je l’ai considéré comme une perte à cause du Christ. ; mais je fais une chose : […], je cours vers le but pour obtenir le prix de la vocation céleste de Dieu en Christ-Jésus” (Ph 3.7,13–14, NBS). » Voici la bonne nouvelle : Dieu n’analyse pas notre passé pour déterminer notre avenir. Il dit : « Ne vous rappelez pas le passé […]. Je fais du nouveau ». Apprenez du passé, oubliez-le et ne regardez pas en arrière.
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