John Craig dit : « Peu importe ce dont un homme est capa­ble, peu importe sa per­son­nal­ité, il n’ira pas loin s’il ne tient pas compte des autres ». Pour cela, il faut pren­dre con­science de la valeur des autres. Des gens aux par­cours bien dif­férents mais qui ont tous réus­si savent com­bi­en c’est vrai. Lors d’une ren­con­tre inter­na­tionale de cadres, un homme d’affaires améri­cain demande à un cadre japon­ais quelle est la langue reine du com­merce inter­na­tion­al. Pour l’Américain, pas de doute, c’est l’anglais. Mais le Japon­ais, qui a une com­préhen­sion plus glob­ale des affaires, lui répond : « Le lan­gage de mes clients ». Avoir un bon pro­duit ou ser­vice ne suf­fit pas. Être un expert ne suf­fit pas. Con­naître votre pro­duit mais pas vos clients sig­ni­fie juste que vous avez quelque chose à ven­dre mais per­son­ne pour l’acheter. En out­re, l’intérêt que vous portez aux gens doit être sincère. Brid­get Hay­mond, coach en man­age­ment, écrit : « Vous pou­vez par­ler jusqu’à en per­dre haleine, mais les gens savent en leur for intérieur si vous vous souciez d’eux. Si vous voulez que le courant passe, il faut chang­er de zoom, plus loin de vous et plus près d’eux. La bonne nou­velle est que vous pou­vez le faire. Tout le monde peut. Il ne faut rien d’autre que la volon­té de chang­er, la déter­mi­na­tion pour aller au bout et une poignée de com­pé­tences que cha­cun peut acquérir. La moti­va­tion pour appren­dre peut se trou­ver dans ces mots de Paul : « Ne cherchez pas votre intérêt à vous, mais cherchez l’intérêt des autres ». Quand vous chercherez une occa­sion d’investir dans les autres, vous les trouverez.