Un poète anonyme a dit : « Si tu peux com­mencer la journée sans caféine, tenir le coup sans pren­dre des vit­a­mines, être tou­jours joyeux, igno­rant maux et cha­grins, te garder d’être insat­is­fait et d’ennuyer les gens avec tes prob­lèmes, manger avec recon­nais­sance la même nour­ri­t­ure chaque jour, com­pren­dre que tes proches sont trop occupés pour te con­sacr­er le moin­dre instant, par­don­ner à un ami qui te nég­lige, oubli­er que ceux que tu aimes t’accusent par­fois à tort de tous les maux, ne pas te vex­er des cri­tiques et remon­trances, ignor­er le manque de savoir d’un ami et ne jamais le cor­riger, éviter d’avoir plus d’égards pour le riche que pour le pau­vre, affron­ter le monde sans men­songe ni tromperie, vain­cre le stress sans sou­tien médi­cal, te déten­dre sans boire d’alcool, dormir sans l’aide de som­nifères, n’avoir aucun préjugé de race, de reli­gion ou de poli­tique, alors, mon ami, tu es presque aus­si bon que ton chien ». Presque, mais pas tout à fait ! Ce poème s’adresse à deux caté­gories de gens : 1) Ceux qui aiment les ani­maux. 2) Ceux qui s’engagent à appren­dre et à grandir : « Con­seille un sage, il devien­dra plus sage encore. Enseigne celui qui agit bien, ses con­nais­sances augmenteront ».