Mère Teresa n’a jamais couru après la gloire, c’est elle qui l’a rattrapée. Elle s’est simplement rendue en Inde, y a trouvé une profonde misère, a entendu l’appel de Dieu, a laissé son cœur s’enflammer par lui, et s’est consacrée à cette multitude de pauvres et d’oubliés dans les bidonvilles de Calcutta. Un de ses plus fameux slogans était : « Ne pas vivre pour les autres revient à ne pas vivre du tout ». Il est clair que bien des actes de notre quotidien paraissent insignifiants avant qu’on ne les considère comme des détails d’un plus grand tableau. Prenez tous les petits riens de chaque jour. Versez-les dans la marmite des visions données par Dieu, puis mélangez. Soudain surgissent un but, une valeur, une excitation et la joie de savoir que vous accomplissez votre destin. C’est comme la différence entre remplir des sacs de terre et construire une digue pour sauver une ville. Rien de gratifiant à remplir des sacs de sable, mais sauver une ville des ravages causés par les flots est une autre paire de manches. Construire une digue donne du sens à la corvée de remplissage des sacs. C’est pareil pour votre vision. Vous sentez trop souvent que vous maniez la pelle dans votre routine du quotidien. Regardez-la à travers la lentille de l’objectif divin et tout sera soudain différent. Une vision oriente votre univers. Elle apporte de l’ordre et un but dans le chaos. Elle vous permet de tout voir dans une nouvelle lumière. Bonne nouvelle, c’est Dieu qui donne les visions, alors demandez-lui un exemplaire !