Dieu ne veut pas que la peur freine votre générosité. Soit vous lui faites confiance pour votre argent et aurez la joie de participer à ses objectifs sur terre, soit vous ne faites confiance qu’à vous-même pour le gagner et vous vivrez dans l’angoisse. Ne pas donner plus risque de vous faire rater quelque chose de plus grand que Dieu veut faire pour vous et à travers vous. Soyez sûr(e) qu’à un certain moment, il vous mettra au défi de donner plus que vous ne l’avez jamais fait auparavant. C’est là que votre foi vous incitera à obéir, ou que votre peur vous poussera à refuser. Ce sera un moment charnière de votre vie, parce que votre réponse au défi de Dieu déterminera votre avenir. Certains dons sont faciles, d’autres moins. Tôt ou tard, vous vous heurtez au mur de la peur, et tant que vous ne le reconnaissez pas, vous ne serez jamais capable de le franchir. Résultat, vous vivrez avec moins que ce que Dieu avait l’intention de vous offrir. La solution ? Changer votre concept de la propriété ! Adolphe Monod a dit : « Il n’y a pas votre argent et le reste pour Dieu. Tout est à lui. Il a tout créé, tout donné, et vous l’a confié pour son service. » Si vous croyez cela, il n’y a aucune raison de ne pas donner. De toute façon, impliquer Dieu dans vos finances signifie lui laisser le contrôle de votre argent. Et ça peut faire peur. Pour Jésus, le modèle de la générosité était une veuve qui avait donné sa dernière pièce, sans le moindre espoir de se relever, excepté la promesse de Dieu de subvenir à ses besoins. Lorsque vous en arrivez là, vous êtes au seuil du miraculeux.